Pleurer de joie parce que je reçois un texto de lui avec quelques mots d'amour. J'en suis réduite à ça.
Mais ne crions pas victoire ; des mots qui ne font que rejoindre le fait qu'il sait, lui aussi, que nous seront liés pour toujours et qu'on ne peut rien faire contre ...

Nous, c'est des histoires de coeur et de raison ... tout ça.

 

Tiens, pour une fois, amusons nous sur mon blog larmoyant (quoiqu'il est également possible de s'amuser à mes dépends), avec cet article trouvé par hasard sur le site de Grazia (non, je ne traîne pas intentionnellement sur ce site, par hasard, je vous dis !). Il m'a fait rire jaune parce que, durant mes périodes de célibat, à quelques exceptions ou variantes près, on m'a sorti toutes les phrases ci dessous.

C'est parti pour le top 10 des phrases qu'on sort tout le temps aux célibataires.

1. Alors, toi, les amours ?
2. Alors la prochaine c'est toi ?
3. Ouais mais aussi t'es trop difficile...
4. Attention, bientôt tu seras trop vieille, t'es pas Demi Moore !
5. Faut rencontrer du monde, te laisse pas aller !
6. Les célibataires à la table des enfants !
7. J'ai entendu dire que tu étais toujours célibataire…
8. Tu sais si tu es homosexuel(le), on comprendra, on acceptera ton partenaire.
9. Et toi, quand est-ce que tu fais un enfant ?
10. Tu verras, c'est toujours au moment où on s'y attend le moins que ça arrive.

 

Alors, on se marre, hein ?
><

Voilà qui m'amène à me demander si moi, je me considère comme célibataire. Et bien non. Je crois bien trop à nous ...
Reste donc à espérer que je n'aurai pas droit à ces phrases là, parce qu'elles risquent de me gonfler encore plus que pendant mes périodes de célibat (ni désagréables ni agréables, seulement un état de fait). Mais bon ... il n'y a que ma meilleure amie et ma famille qui sont au courant pour l'instant. Pas envie, tout simplement. Ni de m'exposer, ni des regards désolés, ni justement des "Un de perdu, dix de retrouvés" et autres joyeusetés vachement réconfortantes qu'on ne manque jamais d'entendre dans ces cas là.

Ou alors ... je me voile la face ... connement.

 

 

Je voulais lui écrire un mail mais je me retrouve avec ma fenêtre vide sans savoir quoi écrire, parce qu'il est trois heures du mat', parce que j'ai mal au crâne, parce que ... non en fait c'est juste parce que ce n'est pas écrire que je voudrais mais me relier à lui sans mots, plonger mes yeux dans les siens, poser ma tête sur son ventre, écouter le souffle de sa voix. Désormais je ne peux plus que faire passer ça par mail ...

Comme je regrette le temps où nous nous relions sans avoir recourt aux mots ...

Il ne faut pas se tuer soi, il faut tuer sa douleur.
Caroline Dublanche.

                                                                                                      J'essaie de ne pas céder alors.

Regardez cette fille là bas qui rentre chez elle, les larmes aux yeux, les épaules rentrées, le pas lent. Elle a dû apprendre une mauvaise nouvelle.
Ben non, la fille, elle a appris qu'elle venait de décrocher un nouveau boulot et elle a mal de ne pouvoir le partager avec l'homme qu'elle aime, si mal qu'en fait ça l'empêche de ressentir ces émotions d'un autre monde qu'on appelle joie, soulagement, bonheur.