Voilà, un article pas très constructif, mais à la base c'est pour écrire ce que je ne peux pas lui dire que j'ai crée ce blog.
Plus comme avant, plus aussi cruellement (et j'en suis heureuse).
Je fais des trucs, et d'autres. Mais tu as fait partie de ma vie et tu en feras toujours partie. J'aimerais qu'un jour on puisse parler tranquillement tous les deux, se voir de temps en temps. Je ne te déteste pas et je n'ai jamais réussi à vraiment t'en vouloir, malgré le mal que tu m'as fait et l'application avec laquelle tu continues à jouer avec mon coeur. C'est déjà ça ...
Notre amour me manque aussi. Quand j'étais triste, le soir, je t'envoyais un texto, pour te dire des tendresses. Quand j'étais joyeuse, je t'envoyais les trop-pleins de mon coeur. J'allais chez toi le coeur battant, je te serrais contre moi. Aujourd'hui, il ne reste dans mes bras que le souvenir du glaçon qu'était devenu ton coeur lors de notre dernière étreinte.
Où sont passées les paroles qu'on se disait ? Est ce qu'il y a un endroit où tous les mots de ce genre se rejoignent ? Ou est ce qu'ils s'évaporent quand plus personne n'y croit ?
J'écris des bêtises, un peu toujours les mêmes.
Le titre est une phrase dite par l'animatrice des Nuits Blanches sur Europe 1 (qui n'était pas celle de tous les soirs, je ne sais pas son nom). Elle fait très mal mais elle est vraie, et il faut s'y faire.