En fait, ces quelques lignes juste pour dire qu'en me relisant ce matin, ce que j'ai écrit hier dans une crise de manque aïgue m'a semblé presque ridicule à la lumière du jour ... je commence à prendre du recul par rapport à moi même et à ma tristesse, et ça, je peux vous dire que c'est un progrès. Bientôt elle va se détacher de moi, et je pourrai la remettre à sa place : à la poubelle !
Et ... il ne me restera que l'amour que j'ai pour toi.
Alors ... quel chemin on choisit ?
EDIT : cet état n'a pas duré, comme d'habitude.
En fait, je ne sais même plus si j'ai envie de guérir. Parce qu'au fond, cette tristesse, c'est tout ce qui reste de nous.
En fait, je ne sais même plus si j'ai envie de guérir. Parce qu'au fond, cette tristesse, c'est tout ce qui reste de nous.
Puis qd je lis ton article "58ème jour", c'est vraiment mes sentiments que je vois. Je crois qu'on est dans la même phase là... Bref, on survivra, et la tête haute !