ptit-pois

Toutes ces plumes qu'on y laisse

Jeudi 27 août 2009 à 15:25

Je veux traverser en dehors des clous
Boire dans l'eau des fontaines

Je veux faire des paris fous
Et y penser à peine

Je ne veux pas être raisonnable
Le coeur comme unique loi
Je me fiche de ce qui est possible ou faisable
Je veux l'impossible : je te veux toi


http://pagesperso-orange.fr/cros.phil/Marelle.jpg

Ecrit par ptit-pois

Jeudi 27 août 2009 à 1:27

... ça se suffit à soi même comme constatation.

Ecrit par ptit-pois

Mercredi 26 août 2009 à 14:24

Où il est heureux que Petit Pois n'ait pas le permis de conduire, parce qu'elle aurait bien envie de s'envoyer dans un ravin.

Ecrit par ptit-pois

Mercredi 26 août 2009 à 2:02

Depuis mes quatorze ans, le chanteur qui me touche le plus est Renaud ... ce qu'il fait maintenant me hérisse le poil, je déteste ce qu'il est devenu, mais ça, n'est ce pas magnifique et si vrai ?
 
La liberté c'est l'enfer
Quand elle tombe sur un cœur prisonnier
Enchaîné comme aux galères
Au cœur de son âme sœur, de sa moitié
Les chaînes se sont brisées
Et mon cœur n'appartient plus à personne
A quarante ans bien sonné
J'ai peur qu'il ne soit perdu à jamais

Renaud - Coeur perdu


 

 

http://b2.img.v4.skyrock.net/b21/chanson-de-mrjack/pics/1513639832.jpg



On reconnait le bonheur parait il
Au bruit qu'il fait quand il s'en va
C'était pas le dernier des imbéciles
Celui qui a dit ça
Le mien s'en est allé hier
De sous mon toit
ça a fait un boucan d'enfer
Je supporte pas

C'était pas un petit bonheur pépère
D'épicerie ou de bar tabac
C'était un bonheur grand comme la terre
Ou plus grand que ça
Grand comme tous les volcans d'Auvergne
Comme un palais de Maharadjah
Comme le trésor dans la caverne d'Ali Baba
Peut être qu'il était devenu fragile
Peut être qu'il était trop grand pour moi
Toujours est il
Que je le voyais pas

Mon amour a clqué la porte
Mais j'étais pas du bon côté
Me voilà pareil à une feuille morte
Sur le pavé
J'ai beau chercher auprès des potes
Le réconfort de l'amitié
Bientôt y z'en auront plein les bottes de me voir pleurer
Parce que dans ces cas là mon pote
Tu te fous de la dignité
Quand tu sais que tes amours sont mortes
A tout jamais

On reconnait le bonheur parait il
Au bruit qu'il fait quand il s'en va
C'était pas le dernier des imbéciles
Celui qui a dit ça
Le bonheur je viens de le voir partir
Après vingt berges, de sous mon toit
J'ai plus qu'une envie c'est mourir
Mais ça se fait pas
Mon coeur ressemble à Tchernobyl
Et ma vie à Hiroshima
Pourtant y'a bien pire que mourir
Y'a vivre sans toi ...

Pourtant y'a bien pire que mourir
Y'a vivre sans toi

Renaud - Boucan d'enfer

Ecrit par ptit-pois

Mardi 25 août 2009 à 20:54

Bonjour, de retour de vacances bien agréables, évidemment pas autant qu'elles l'auraient été dans une autre vie, mais qui m'ont fait prendre le grand air.

Bien sûr, je n'ai pas resisté longtemps à l'appel de mon pc et ma souris s'est dirigée comme mûe par une force indépendante vers mon logo msn ...

Cinq jours sans me connecter et il ne me demande pas comment je vais, même pas une petite formule de politesse. Il ne savait pas que je partais pour quelques jours, je ne lui avais pas dit. J'en suis réduite à lui poser des questions pour qu'il me parle, choisies pour qu'il ne puisse pas répondre juste par oui ou par non. Parce que je crève d'envie d'échanger avec lui, sur n'importe quel sujet, juste pour parler, avoir l'impression d'avoir un lien. Il est plutôt gentil, mais pas bavard et ses réponses dépassent rarement les quelques mots ... et pas une contient un point d'interrogation. Je sais que c'est pour se protéger, pour ne pas entendre "ça va mal à cause de toi" ... mais ce que ça fait mal ... je suis quoi ? Une étrangère ?

Fin de la conversation déjà ... je vais en profiter pour aller défaire mes valises, ce sera plus intelligent.

Ecrit par ptit-pois

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